Ce que j’ai bien pris, moi, c’est la piquouse. Fesse droite
cette fois. Aïeeeeeeeee. L’impression que ça fait toujours beaucoup plus mal, à droite.
(N’y voyez pas une opinion politique dans ce propos…) Aurais-je le séant plus
musclé d’un côté que de l’autre ? Bizarre…
mercredi 30 janvier 2013
Mercredi 30/01/2013
Elle était en… bleu ! Oh oui, j’ai presque envie de
dire à ma sympathique infirmière que je fais de la couleur de sa tenue un
billet sur mon blog ! Elle semble avoir beaucoup d’humour, elle le
prendrait bien, je pense.
mardi 29 janvier 2013
Mardi 29/01/2013
Pas grand chose de neuf à raconter (ce qui est plutôt une
bonne chose) mais « pour toi public » je viens donner quelques
nouvelles.
Je passerai sous silence les maux de ventre qui font partie du quotidien, les céphalées qui n’ont pas disparu aussi miraculeusement qu’avant sous l’effet de la piqure, les jambes flageolantes (malgré des quadriceps d’acier, oh ça oui), les nuits à penser sans jamais "panser"…
Samedi, j’ai participé au loto organisé par l’école de mes enfants. Cette manifestation permet de ramener des kopecs (les temps sont durs, ma p’tite dame) pour leurs activités sportives, les sorties, l’achat de matériel… Je me suis préservé un maximum pour y aller en forme et être capable de tenir la soirée. Armé de ma crème anti-rides/ bonne mine/peau douce/Q10/… je suis arrivé radieux pour … tenir le bar. Une place de choix. Ils me connaissent bien. J’étais content de revoir du monde, des amis, des personnes pleines d’attentions et de gentillesse à mon égard. Heureux aussi d’avoir « tenu » jusqu'à la fin.
Je viens de retéléphoner à ma gentille infirmière dont le message vocal, laissé hier en plein macaronage, me rappelait que mercredi, elle venait me piquer. RDV pris à 19h30 demain (Les officiers : Débridat, Spasfon, Smecta sont déjà au garde-à-vous.)
Oui, je vous disais donc qu’elle m’a appelé hier quand je pâtissais. Il faut que je m'occupe pour ne pas cogiter... quitte à en devenir déraisonnable, à aller jusqu'à l'épuisement. Mais se poser serait parfois pire. Donc, hier, en pleine séance de macaronage: impossible de répondre, vous pensez bien… Cette étape est cruciale dans la réussite de ces bestioles capricieuses. J’ai changé de technique après trois essais peu concluants. J’ai opté pour une meringue à la française (les ritals m’opposaient une certaine résistance avec la leur, de meringue) et je ne suis pas peu fier du résultat ***chevilles qui enflent > Prévoir les chaussettes de contention*** Regardez un peu ça.
Je passerai sous silence les maux de ventre qui font partie du quotidien, les céphalées qui n’ont pas disparu aussi miraculeusement qu’avant sous l’effet de la piqure, les jambes flageolantes (malgré des quadriceps d’acier, oh ça oui), les nuits à penser sans jamais "panser"…
Samedi, j’ai participé au loto organisé par l’école de mes enfants. Cette manifestation permet de ramener des kopecs (les temps sont durs, ma p’tite dame) pour leurs activités sportives, les sorties, l’achat de matériel… Je me suis préservé un maximum pour y aller en forme et être capable de tenir la soirée. Armé de ma crème anti-rides/ bonne mine/peau douce/Q10/… je suis arrivé radieux pour … tenir le bar. Une place de choix. Ils me connaissent bien. J’étais content de revoir du monde, des amis, des personnes pleines d’attentions et de gentillesse à mon égard. Heureux aussi d’avoir « tenu » jusqu'à la fin.
Je viens de retéléphoner à ma gentille infirmière dont le message vocal, laissé hier en plein macaronage, me rappelait que mercredi, elle venait me piquer. RDV pris à 19h30 demain (Les officiers : Débridat, Spasfon, Smecta sont déjà au garde-à-vous.)
Oui, je vous disais donc qu’elle m’a appelé hier quand je pâtissais. Il faut que je m'occupe pour ne pas cogiter... quitte à en devenir déraisonnable, à aller jusqu'à l'épuisement. Mais se poser serait parfois pire. Donc, hier, en pleine séance de macaronage: impossible de répondre, vous pensez bien… Cette étape est cruciale dans la réussite de ces bestioles capricieuses. J’ai changé de technique après trois essais peu concluants. J’ai opté pour une meringue à la française (les ritals m’opposaient une certaine résistance avec la leur, de meringue) et je ne suis pas peu fier du résultat ***chevilles qui enflent > Prévoir les chaussettes de contention*** Regardez un peu ça.
Ils sont
magnifiques hein ? Certes, certains sont plus des « macovales » que des
macarons. Ne chipotez pas… Ganaches pistache et citron vert (de belle-maman (merci!), souvenir de Guadeloupe, enfin de Carrefour ;-)) La vraie question
est: Sont-ils bons ?! Réponse ce midi ou ce soir : 24h sont nécessaires avant
de pouvoir les apprécier pleinement. Quelle idée ça aussi...
mercredi 23 janvier 2013
Mercredi 23/01/2013
Hier, j’ai eu mon RDV post opératoire. Le chirurgien a
trouvé… qu’il avait rudement bien bossé ! Cicatrices nickelles. Encore une
petite sensation pas agréable à gauche, on dira une sensibilité, au moment de
la palpation. Il faut encore être prudent sur le port des charges : pas
plus de 20kg pendant deux mois. Et donc, il m’a recommandé "d’y aller mollo sur
le démarrage de la tronçonneuse ou du motoculteur". Vous qui me connaissez, vous imaginez aisément
à quel point sa remarque m’a interpelé… Et puisque mon système digestif s’est
bien remis (sauf en période d’injection mais ça, c’est un autre problème), inutile
de le revoir. Il est bien sympa mais pas au point de me manquer.
Sinon, les maux de l’hiver ont touché une bonne partie du foyer. Mes loustics ont chopé successivement la grippe (ou tout au moins un état grippal associé à une rhino carabinée.) Ils ont bien du mal à s’en défaire. Et comme on est partageur dans la famille, ils me l’ont refilé. Je n’avais déjà pas la pêche avant mais là, je suis KO. Et comme m’a dit ma doc (qui va finir par croire que sa salle d’attente est confortable... ou mieux, que je ne peux plus me passer d’elle) : il faut vous remettre d’aplomb (terme de bricolage ça : ouchhh, attention au risque d’allergie) avant la prochaine piquouse du 30 janvier. Les antibios sont donc prêts à être dégainés. Wait and see...
Sinon, les maux de l’hiver ont touché une bonne partie du foyer. Mes loustics ont chopé successivement la grippe (ou tout au moins un état grippal associé à une rhino carabinée.) Ils ont bien du mal à s’en défaire. Et comme on est partageur dans la famille, ils me l’ont refilé. Je n’avais déjà pas la pêche avant mais là, je suis KO. Et comme m’a dit ma doc (qui va finir par croire que sa salle d’attente est confortable... ou mieux, que je ne peux plus me passer d’elle) : il faut vous remettre d’aplomb (terme de bricolage ça : ouchhh, attention au risque d’allergie) avant la prochaine piquouse du 30 janvier. Les antibios sont donc prêts à être dégainés. Wait and see...
lundi 21 janvier 2013
Lundi 21/01/2013
Me voilà de retour après un bon petit weekend en famille passé
au coin d’un feu de cheminée… et sur une route verglacée (où même Philippe
Candéloro se serait pris une pelle (à neige évidemment)) Ca fait du bien, merci
à tous.
Toujours des maux de tête et de ventre qui vont et qui viennent. Ibuprofène 400 et Spasfon Lyoc sont devenus mes potes de poche : ce sont des pot’poch quoi…
A part les tentatives de double Axel et de triples Lutz au moment de dégivrer, que dis-je » déglacer » la voiture (d’habitude le déglaçage, je le fais au pinard mais dans le cas présent, j’ai pensé que ça ferait mauvais genre), le weekend a été plutôt très calme. Pour autant, je suis fatigué. On va mettre ça sur le compte de la neige, elle a bon dos, la neige. Elle paralyse les routes, elle peut bien paralyser mon énergie aussi…
J’ai mon RDV post opératoire mardi. Je revois le chirurgien qui m’a rendu Vésicul’free. La digestion est tout de même bien meilleure sans ce bidule (bidule tellement rempli qu’il en aurait fait pâlir un bagnard de Cayenne.) Je retrouve l’appétit. J’ai même repris un kilo. Certains aliments ne passent pas, du moins, à leur vue, je prends mon adénome à mon cou et je me barre… C’est le cas de la crème fraiche, de sa cousine la Chantilly ou du mousson de canard. Ne cherchez pas à barrer l’intrus. Par contre, je mangerais du pain et du fromage, de la salade avec des tomates-cerises et des pommes sur la tête d’un pouilleux (qui se serait rasé la tête, faut pas déconner). Allez comprendre…
Et si on s’écoutait un petit truc ? « Slipping away-Crier la vie ». Ce titre date de 2006 mais certains vers prennent tout leur sens, 7 ans après.
All that we
needed was right
Les ombres ce soir nous menacent
So
long.....
Mais l'ombre....
Toujours des maux de tête et de ventre qui vont et qui viennent. Ibuprofène 400 et Spasfon Lyoc sont devenus mes potes de poche : ce sont des pot’poch quoi…
A part les tentatives de double Axel et de triples Lutz au moment de dégivrer, que dis-je » déglacer » la voiture (d’habitude le déglaçage, je le fais au pinard mais dans le cas présent, j’ai pensé que ça ferait mauvais genre), le weekend a été plutôt très calme. Pour autant, je suis fatigué. On va mettre ça sur le compte de la neige, elle a bon dos, la neige. Elle paralyse les routes, elle peut bien paralyser mon énergie aussi…
J’ai mon RDV post opératoire mardi. Je revois le chirurgien qui m’a rendu Vésicul’free. La digestion est tout de même bien meilleure sans ce bidule (bidule tellement rempli qu’il en aurait fait pâlir un bagnard de Cayenne.) Je retrouve l’appétit. J’ai même repris un kilo. Certains aliments ne passent pas, du moins, à leur vue, je prends mon adénome à mon cou et je me barre… C’est le cas de la crème fraiche, de sa cousine la Chantilly ou du mousson de canard. Ne cherchez pas à barrer l’intrus. Par contre, je mangerais du pain et du fromage, de la salade avec des tomates-cerises et des pommes sur la tête d’un pouilleux (qui se serait rasé la tête, faut pas déconner). Allez comprendre…
Et si on s’écoutait un petit truc ? « Slipping away-Crier la vie ». Ce titre date de 2006 mais certains vers prennent tout leur sens, 7 ans après.
Les ombres ce soir nous menacent
Open to everything happy and
sad
Seeing the good...
Même si tout va si mal
Voir le soleil quand la nuit nous accable
Oh pour un jour
Croire aux Dieux,
Croire aux fables
Focus on
Everything better today
Crier la vie
Quand tout autour se tait
Hold on to people
That slipping away
Hold on to this
While it's slipping away
Seeing the good...
Même si tout va si mal
Voir le soleil quand la nuit nous accable
Oh pour un jour
Croire aux Dieux,
Croire aux fables
Focus on
Everything better today
Crier la vie
Quand tout autour se tait
Hold on to people
That slipping away
Hold on to this
While it's slipping away
All that we needed tonight
Are people who love us and like
Je sais les douleurs et les doutes
Oh, partir est ce qu'on redoute
Aussi....
Are people who love us and like
Je sais les douleurs et les doutes
Oh, partir est ce qu'on redoute
Aussi....
Mais l'ombre....
mercredi 16 janvier 2013
Mercredi 16/01/2013
Satanés maux de tête… Eh oui, cette fois, malheureusement,
la dernière injection n’est pas aussi miraculeuse que les précédentes. Peut être est-ce dû aux dérèglements, tout de
même récents, engendrés par l’ablation de la vésicule ? Cependant, contrairement
à avant, un simple ibuprofène 400 suffit à atténuer les maux : avant, ne
prendre que cet antalgique était « comme si je pissais dans un
violon ». Parenthèse linguistique : je viens de lire qu’au Québec, on
dit que c’est comme si « on fourrait le chien ». Qu’ils sont
vulgaires ces Canadiens…
Et puisque de maux de tête il est question… Si on évoquait sur moi les ravages du glutamate monosodique ? (Appelons-le par ses initiales : GM) Vous allez me dire « Mais qu’est-ce donc que le glutamate monosodique ? (Eh ben dites-le). Il s’agit d’un exhausteur de goût, estampillé E621, que l’on trouve dans un grand nombre d’aliments ; soit ils en contiennent naturellement (c’est assez rare) comme le Parmesan par exemple, soit par adjonction. Et là, je ne peux vous faire une liste exhaustive tant ils sont nombreux : gâteaux apéro, chips (le goût « fumé » ou «bacon » s’obtient généralement par le GM), plats préparés, sauce soja, bouillons, fonds de sauce…
Reconnu officiellement inoffensif, il n’en demeure pas moins que de nombreuses voix s’élèvent pour mettre en garde les consommateurs (et les pouvoirs publics... mais face au lobby des grands groupes alimentaires qui verraient leurs marges baisser en remplaçant ces saloperies par des arômes naturels, force est de constater que peu de choses bougent). Des médecins et des chercheurs qualifient cette molécule de neurotoxique… Tout est dit. L’article suivant est très instructif. Allez-y faire un tour (mais revenez me voir après, hein)
Tout sur le Glutamate Monosodique (GM)
Depuis le diagnostique de mon acromégalie, je me demande si les violentes douleurs qui apparaissent lorsque j’ingère du GM sont liées à l’adénome ou pas ?
Toujours est-il que je fuis les plats en sauce dans les restos, les gâteaux apéros dont je n’ai pas vu la boîte (vive les tomates cerise et les carottes) et je passe trois plombes à examiner tous les emballages quand je fais mes courses. C’est le prix à payer... Une seule chips contenant du GM, c’est une migraine assurée dans l’heure qui suit. C’est moi et ma femme qui avions trouvé cette intolérance au GM suite à deux apéros dinatoires identiques, faits à la maison, et qui m’avaient provoqué deux migraines similaires aux mêmes heures. On a cherché, étudié les emballages et on a découvert que le GM me provoquait ces violents maux de tête, tout comme l’aspartame d’ailleurs (mais ça, dans mon cas, on le savait depuis longtemps.) Tout ça s’est vérifié ensuite, quand par mégarde ou par ignorance (comme au resto), j’ai ingéré du GM > Migraines.
Bref, je fais la chasse, non pas à la galinette cendrée, mais à tous ces trucs chimiques. Attention, je ne suis pas un ayatollah du BIO, mais seuls les bouillons et sauce soja BIO, par exemple, n’en contiennent pas. Et surtout, j’essaie de cuisiner moi-même, un maximum… N’en déplaise à mes loustics qui préfèrent parfois un plat surgelé Marie à ma préparation maison. Pffff. Ah oui, avec moi, ça sent parfois le vin blanc, les oignons émincés revenus dans l’huile d’olive, le thym et le laurier ! D’ailleurs, je vous écris mais va falloir songer à préparer le déjeuner. Mercredi: faisons simple: gratin de macaronis. Ma recette ? Macaronis (c’est un bon début), béchamel maison, dés de jambons, gruyère râpé. Succès assuré !
Et puisque de maux de tête il est question… Si on évoquait sur moi les ravages du glutamate monosodique ? (Appelons-le par ses initiales : GM) Vous allez me dire « Mais qu’est-ce donc que le glutamate monosodique ? (Eh ben dites-le). Il s’agit d’un exhausteur de goût, estampillé E621, que l’on trouve dans un grand nombre d’aliments ; soit ils en contiennent naturellement (c’est assez rare) comme le Parmesan par exemple, soit par adjonction. Et là, je ne peux vous faire une liste exhaustive tant ils sont nombreux : gâteaux apéro, chips (le goût « fumé » ou «bacon » s’obtient généralement par le GM), plats préparés, sauce soja, bouillons, fonds de sauce…
Reconnu officiellement inoffensif, il n’en demeure pas moins que de nombreuses voix s’élèvent pour mettre en garde les consommateurs (et les pouvoirs publics... mais face au lobby des grands groupes alimentaires qui verraient leurs marges baisser en remplaçant ces saloperies par des arômes naturels, force est de constater que peu de choses bougent). Des médecins et des chercheurs qualifient cette molécule de neurotoxique… Tout est dit. L’article suivant est très instructif. Allez-y faire un tour (mais revenez me voir après, hein)
Tout sur le Glutamate Monosodique (GM)
Depuis le diagnostique de mon acromégalie, je me demande si les violentes douleurs qui apparaissent lorsque j’ingère du GM sont liées à l’adénome ou pas ?
Toujours est-il que je fuis les plats en sauce dans les restos, les gâteaux apéros dont je n’ai pas vu la boîte (vive les tomates cerise et les carottes) et je passe trois plombes à examiner tous les emballages quand je fais mes courses. C’est le prix à payer... Une seule chips contenant du GM, c’est une migraine assurée dans l’heure qui suit. C’est moi et ma femme qui avions trouvé cette intolérance au GM suite à deux apéros dinatoires identiques, faits à la maison, et qui m’avaient provoqué deux migraines similaires aux mêmes heures. On a cherché, étudié les emballages et on a découvert que le GM me provoquait ces violents maux de tête, tout comme l’aspartame d’ailleurs (mais ça, dans mon cas, on le savait depuis longtemps.) Tout ça s’est vérifié ensuite, quand par mégarde ou par ignorance (comme au resto), j’ai ingéré du GM > Migraines.
Bref, je fais la chasse, non pas à la galinette cendrée, mais à tous ces trucs chimiques. Attention, je ne suis pas un ayatollah du BIO, mais seuls les bouillons et sauce soja BIO, par exemple, n’en contiennent pas. Et surtout, j’essaie de cuisiner moi-même, un maximum… N’en déplaise à mes loustics qui préfèrent parfois un plat surgelé Marie à ma préparation maison. Pffff. Ah oui, avec moi, ça sent parfois le vin blanc, les oignons émincés revenus dans l’huile d’olive, le thym et le laurier ! D’ailleurs, je vous écris mais va falloir songer à préparer le déjeuner. Mercredi: faisons simple: gratin de macaronis. Ma recette ? Macaronis (c’est un bon début), béchamel maison, dés de jambons, gruyère râpé. Succès assuré !
dimanche 13 janvier 2013
Dimanche 13/01/2013
Il est des moments magiques qui vous font oublier les
mauvaises heures de l’existence… Merci à ma p’tite femme chérie d’avoir
orchestré un anniv’ surprise inoubliable et à mes formidables amis d’y avoir
participé. Ces instants sont gravés à jamais…
Et promis, avec mes livres de recettes, ma nouvelle douille et mon batteur, je vous ferai des macarons tout lisses et tout bons… le tout en écoutant l’instru de Désenchantée, histoire de se préparer comme il faut pour le 18/09 où j’irai habillé d’une superbe chemise qui relèvera mon élégance naturelle… Merci à tous ! Vous êtes ma thérapie (avec le truc qui trône dans ma fesse gauche, of course.)
Et promis, avec mes livres de recettes, ma nouvelle douille et mon batteur, je vous ferai des macarons tout lisses et tout bons… le tout en écoutant l’instru de Désenchantée, histoire de se préparer comme il faut pour le 18/09 où j’irai habillé d’une superbe chemise qui relèvera mon élégance naturelle… Merci à tous ! Vous êtes ma thérapie (avec le truc qui trône dans ma fesse gauche, of course.)
vendredi 11 janvier 2013
Vendredi 11/01/2013
(Jeudi matin) **Driiiiiiing** Je n’aime pas spécialement les
coups de sonnette matinaux. Tiens, c’est ma factrice qui me dépose un
colis ! J’ouvre… mais un mot à l’intérieur me dit que je n’ai pas le droit
d’ouvrir. C’est ballot. Ca devra attendre dimanche. (Merci Môman et la
sister !) Et je ne vous raconte pas ça pour que vous me souhaitiez tous et
toutes, sans exception, un bon anniversaire dimanche, non, non, non…
Aujourd’hui, je prends à bras le corps (et avec mes grosses paluches d’acromégale) le problème de mon congé maladie. Au moment du diagnostique, en octobre, bien malin était celui qui pouvait deviner comment j’allais réagir au traitement, quand je pourrais reprendre le travail… Devant la véritable désinformation de mon institution, je décide de remuer ciel et terre (bref, de prendre le téléphone et de dézinguer tous les standards téléphoniques) pour trouver LA bonne personne : celle qui sait ; pas celle qui se demande si … ou qui pense que…
Après plusieurs tentatives infructueuses, je tombe enfin sur une dame qui semble bien connaître son sujet. Je l’avais déjà eu au téléphone il y a quelques mois, sur les conseils de ma meilleure amie (qui n’est toujours pas Lorie mais qui est blonde quand même… Bisous Toi !) pour un allégement de service. Là, le problème est différent. Au bout de trois mois de congé maladie ordinaire, je vais passer à demi traitement. Ouchh. Je pressens aussi que je ne pourrai reprendre avant d’être opéré… Cette charmante dame m’écoute attentivement. Sa réponse est sans équivoque : je dois demander à bénéficier d’un CLM : congé de longue maladie. Ce congé me permettra de garder mon salaire, mon poste et de reprendre le travail avec un « temps partiel thérapeutique » si besoin… Elle m’indique la procédure à suivre, me demande de rédiger un courrier faisant état de cette demande, et de la part de mon médecin traitant, un certificat médical justifiant cette démarche ainsi qu’un courrier détaillé de ma maladie. Je lui dis que ce dernier courrier a déjà été envoyé au médecin il y a quelques mois. Et là, j’apprends avec stupéfaction qu’il n’y a « plus vraiment » de médecin depuis septembre et qu’ils viennent seulement d’en recruter un en janvier… Et dire qu’on m’a demandé de lui écrire en octobre, de faire tout un tas de démarches auprès lui… Lui qui n’était qu’un fantôme dévoreur de temps et d’énergie. Je comprends pourquoi mes demandes sont restées vaines… Bref. Ni une, ni… Dieu, je suis à midi chez ma généraliste qui me rédige tout ça. A 13h, la lettre est postée. Reste maintenant à attendre l’avis du Comité médical. Pourvu qu’il y ait de vrais médecins dans ce comité… Ah la la, dans quel monde Vuitton… ?
A 17h, je participe à une réunion avec mes collègues. J’aime (les revoir, of course) et garder un pied (taille 45) dans le travail. Ca fait du bien au moral… La journée s’achève par une visite chez Ronald qui me propose un Menu M/Salade/Perrier/Glace, bien tentant ! Et ça, ça fait du bien à l’estomac. Ce ne sont pas les candidats de Kho Lanta que je viens de voir qui diront le contraire…
Aujourd’hui, je prends à bras le corps (et avec mes grosses paluches d’acromégale) le problème de mon congé maladie. Au moment du diagnostique, en octobre, bien malin était celui qui pouvait deviner comment j’allais réagir au traitement, quand je pourrais reprendre le travail… Devant la véritable désinformation de mon institution, je décide de remuer ciel et terre (bref, de prendre le téléphone et de dézinguer tous les standards téléphoniques) pour trouver LA bonne personne : celle qui sait ; pas celle qui se demande si … ou qui pense que…
Après plusieurs tentatives infructueuses, je tombe enfin sur une dame qui semble bien connaître son sujet. Je l’avais déjà eu au téléphone il y a quelques mois, sur les conseils de ma meilleure amie (qui n’est toujours pas Lorie mais qui est blonde quand même… Bisous Toi !) pour un allégement de service. Là, le problème est différent. Au bout de trois mois de congé maladie ordinaire, je vais passer à demi traitement. Ouchh. Je pressens aussi que je ne pourrai reprendre avant d’être opéré… Cette charmante dame m’écoute attentivement. Sa réponse est sans équivoque : je dois demander à bénéficier d’un CLM : congé de longue maladie. Ce congé me permettra de garder mon salaire, mon poste et de reprendre le travail avec un « temps partiel thérapeutique » si besoin… Elle m’indique la procédure à suivre, me demande de rédiger un courrier faisant état de cette demande, et de la part de mon médecin traitant, un certificat médical justifiant cette démarche ainsi qu’un courrier détaillé de ma maladie. Je lui dis que ce dernier courrier a déjà été envoyé au médecin il y a quelques mois. Et là, j’apprends avec stupéfaction qu’il n’y a « plus vraiment » de médecin depuis septembre et qu’ils viennent seulement d’en recruter un en janvier… Et dire qu’on m’a demandé de lui écrire en octobre, de faire tout un tas de démarches auprès lui… Lui qui n’était qu’un fantôme dévoreur de temps et d’énergie. Je comprends pourquoi mes demandes sont restées vaines… Bref. Ni une, ni… Dieu, je suis à midi chez ma généraliste qui me rédige tout ça. A 13h, la lettre est postée. Reste maintenant à attendre l’avis du Comité médical. Pourvu qu’il y ait de vrais médecins dans ce comité… Ah la la, dans quel monde Vuitton… ?
A 17h, je participe à une réunion avec mes collègues. J’aime (les revoir, of course) et garder un pied (taille 45) dans le travail. Ca fait du bien au moral… La journée s’achève par une visite chez Ronald qui me propose un Menu M/Salade/Perrier/Glace, bien tentant ! Et ça, ça fait du bien à l’estomac. Ce ne sont pas les candidats de Kho Lanta que je viens de voir qui diront le contraire…
mardi 8 janvier 2013
Mardi 08/01/2013
Me voici de retour après un weekend end que je qualifierai
de … difficile. La piqûre, toujours elle, m’a retourné le bidon ces deux
derniers jours…
Tout avait pourtant bien commencé ce dimanche. Levé tôt, je décide de démonter le sapin avec les garçons. Ils m’aident bien, surtout pour me coller des aiguilles partout ! Précision : mon sapin est… artificiel… mais il perd ses aiguilles : c’est fort, non ?! Ensuite, on prend le petit dej et déjà là, je sens que ça tourne dans mon ventre : je ne force pas : un REM Fossier en trempette dans mon café me suffit. Puis, on fait le point dans les fournitures scolaires des garçons pour faire une rentrée tip top : on taille les crayons de couleurs, on remet encore des bâtons de colle dans la trousse (ils la mangent ou quoi ? C’est pourtant pas de la délicieuse Cléopâtre…) Et là, coups de poignard dans le ventre, plié en deux , je comprends que l’on est à J+4 de l’injection et que les ennuis commencent…. Je m’allonge deux heures en priant le Dieu Spasfon-Lyoc de me venir en aide. Que nenni. Mon appel restera vain.
J’avais promis aux garçons, la veille, de finir les vacances par un Mac Do. Je sais au fond de moi que je n’y arriverai pas mais je ne veux pas les décevoir. Ils sont contents, mangent à la hâte leur Happy Meal et vont jouer dans la structure. J’essaie de tenir, de laisser ma femme terminer son dessert tranquille mais ce ne sera pas le cas. Mes jambes ne me tiennent plus, j’ai les intestins en vrac et l’estomac qui brûle. Il faut vite rentrer. Je monte me coucher. Je ne quitterai pas mon lit avant lundi soir.
Aujourd’hui, ça va mieux. Amel Bent croit me narguer avec sa perte de poids chez Weight Watchers mais elle se met le micro dans l’œil. Ces deux jours ont été d’une efficacité redoutable. Oh je rigole… Je prends un petit dej correct avec femme et enfants, avant leur départ au boulot. Boulot que je ne reverrai pas de si tôt. Ma généraliste me met en arrêt jusqu’aux prochaines vacances scolaires. Je le redoutais autant que je le pressentais. Cela n’empêche que je vais aller voir mon remplaçant à 11h30. Je l’ai eu au téléphone. Il a l’air de vouloir se glisser dans mes pas. Je vais lui donner tout ce qu’il faut pour. Ca me permettra aussi de faire un coucou à mes collègues à qui je manque terriiiiiiiiblement, à n’en pas douter… ;-)
Tout avait pourtant bien commencé ce dimanche. Levé tôt, je décide de démonter le sapin avec les garçons. Ils m’aident bien, surtout pour me coller des aiguilles partout ! Précision : mon sapin est… artificiel… mais il perd ses aiguilles : c’est fort, non ?! Ensuite, on prend le petit dej et déjà là, je sens que ça tourne dans mon ventre : je ne force pas : un REM Fossier en trempette dans mon café me suffit. Puis, on fait le point dans les fournitures scolaires des garçons pour faire une rentrée tip top : on taille les crayons de couleurs, on remet encore des bâtons de colle dans la trousse (ils la mangent ou quoi ? C’est pourtant pas de la délicieuse Cléopâtre…) Et là, coups de poignard dans le ventre, plié en deux , je comprends que l’on est à J+4 de l’injection et que les ennuis commencent…. Je m’allonge deux heures en priant le Dieu Spasfon-Lyoc de me venir en aide. Que nenni. Mon appel restera vain.
J’avais promis aux garçons, la veille, de finir les vacances par un Mac Do. Je sais au fond de moi que je n’y arriverai pas mais je ne veux pas les décevoir. Ils sont contents, mangent à la hâte leur Happy Meal et vont jouer dans la structure. J’essaie de tenir, de laisser ma femme terminer son dessert tranquille mais ce ne sera pas le cas. Mes jambes ne me tiennent plus, j’ai les intestins en vrac et l’estomac qui brûle. Il faut vite rentrer. Je monte me coucher. Je ne quitterai pas mon lit avant lundi soir.
Aujourd’hui, ça va mieux. Amel Bent croit me narguer avec sa perte de poids chez Weight Watchers mais elle se met le micro dans l’œil. Ces deux jours ont été d’une efficacité redoutable. Oh je rigole… Je prends un petit dej correct avec femme et enfants, avant leur départ au boulot. Boulot que je ne reverrai pas de si tôt. Ma généraliste me met en arrêt jusqu’aux prochaines vacances scolaires. Je le redoutais autant que je le pressentais. Cela n’empêche que je vais aller voir mon remplaçant à 11h30. Je l’ai eu au téléphone. Il a l’air de vouloir se glisser dans mes pas. Je vais lui donner tout ce qu’il faut pour. Ca me permettra aussi de faire un coucou à mes collègues à qui je manque terriiiiiiiiblement, à n’en pas douter… ;-)
jeudi 3 janvier 2013
Jeudi 03/01/2013
Merci à tous pour vos messages. Oui, je radote mais ils sont
importants pour moi… Merci…
Ma petite infirmière est venue hier. Et vous savez quoi ? Eh ben non, elle n’était toujours pas habillée en blanc. Noir et gris. Sobre, chic et stylisée ! Toujours aussi gentille et…piquante. On serre les poings, les mâchoires mais surtout pas les fesses et on attend que le produit salvateur prenne place. J’avais été malin (encore plus que d’habitude, comment est-ce possible…) en laissant le matos à température ambiante une heure avant. A priori, ça allait mieux pour elle injecter…et pour moi réceptionner.
Cette fois, j’ai eu l’impression que la douleur irradiait dans toute ma jambe gauche : assis, debout, couché : rien ne soulageait vraiment. Je me suis dit qu’un apéro « reste du nouvel An » ne me ferait pas de mal : le Champagne a des vertus insoupçonnées.
Je me demandais comment mon corps allait réagir cette fois, sans le sac à caillasses qu’on m’avait enlevé. Et bonne surprise, pas de maux violents dans la soirée. Un ventre un peu en vrac et la douleur au point d’impact ne m’ont pas fait passer une super nuit mais bon… Les maux de tête s'estompent déjà. Je me réjouis donc de pareil déroulement.
Et comme ça allait aujourd’hui, eh bien, on a fait « atelier
cuisine » avec mes deux loustics. Galette des rois power ! Et
regardez ça, c’est pas la classe internationale ?!
Je n’avais pas très faim mais j’en ai mangé une part quand même, vous pensez bien... Et nom de Zeus : elle déchire !!! Oui, oui, l’humilité est une de mes nombreuses qualités... Et malgré ma tentative, mon plus jeune fils ne s'est pas laissé soudoyer. Je n'ai donc pas été le Roi. Pfff...
Ma petite infirmière est venue hier. Et vous savez quoi ? Eh ben non, elle n’était toujours pas habillée en blanc. Noir et gris. Sobre, chic et stylisée ! Toujours aussi gentille et…piquante. On serre les poings, les mâchoires mais surtout pas les fesses et on attend que le produit salvateur prenne place. J’avais été malin (encore plus que d’habitude, comment est-ce possible…) en laissant le matos à température ambiante une heure avant. A priori, ça allait mieux pour elle injecter…et pour moi réceptionner.
Cette fois, j’ai eu l’impression que la douleur irradiait dans toute ma jambe gauche : assis, debout, couché : rien ne soulageait vraiment. Je me suis dit qu’un apéro « reste du nouvel An » ne me ferait pas de mal : le Champagne a des vertus insoupçonnées.
Je me demandais comment mon corps allait réagir cette fois, sans le sac à caillasses qu’on m’avait enlevé. Et bonne surprise, pas de maux violents dans la soirée. Un ventre un peu en vrac et la douleur au point d’impact ne m’ont pas fait passer une super nuit mais bon… Les maux de tête s'estompent déjà. Je me réjouis donc de pareil déroulement.
Je n’avais pas très faim mais j’en ai mangé une part quand même, vous pensez bien... Et nom de Zeus : elle déchire !!! Oui, oui, l’humilité est une de mes nombreuses qualités... Et malgré ma tentative, mon plus jeune fils ne s'est pas laissé soudoyer. Je n'ai donc pas été le Roi. Pfff...
mardi 1 janvier 2013
Mardi 01/01/2013
Bonne année à tous : Santé, bonheur, réussite… Champagne
et kopecks à profusion !
Si on m’avait dit, il y a quelques semaines, que les fêtes se passeraient de cette façon, j’aurais tout de suite dit d’accord. J’ai pu manger (un peu) de tout, j’ai pu boire (un peu) de champagne et j’ai pu (beaucoup) profiter de ma famille et de mes amis. C'était top !
Bon, la vie n’étant pas un long fleuve tranquille (c’est mardi, c’est ibuprofen’party), j’ai subi pas mal de maux de tête avec, pendant trois nuits consécutives, une migraine carabinée à 3h du mat’. Et ne me dites pas que ce sont les excès des fêtes. Je suis (devenu) un homme raisonnable moi, cher lecteur. Je me traine en journée, fatigué d’un sommeil qui n’est pas réparateur.
Du coup, j’ai avancé la date de mon injection. Ce sera pour demain. J’ai presque hâte… Je préfère les violents maux de ventre qui m’attendent demain soir, aux maux de tête...
Sinon, et je sais que vous attendez tous le verdict: elle était terriiiiiiible, ma glace!
A nouveau, meilleurs vœux à tous ! Je vous embrasse pour l’occasion, profitez-en.
Si on m’avait dit, il y a quelques semaines, que les fêtes se passeraient de cette façon, j’aurais tout de suite dit d’accord. J’ai pu manger (un peu) de tout, j’ai pu boire (un peu) de champagne et j’ai pu (beaucoup) profiter de ma famille et de mes amis. C'était top !
Bon, la vie n’étant pas un long fleuve tranquille (c’est mardi, c’est ibuprofen’party), j’ai subi pas mal de maux de tête avec, pendant trois nuits consécutives, une migraine carabinée à 3h du mat’. Et ne me dites pas que ce sont les excès des fêtes. Je suis (devenu) un homme raisonnable moi, cher lecteur. Je me traine en journée, fatigué d’un sommeil qui n’est pas réparateur.
Du coup, j’ai avancé la date de mon injection. Ce sera pour demain. J’ai presque hâte… Je préfère les violents maux de ventre qui m’attendent demain soir, aux maux de tête...
Sinon, et je sais que vous attendez tous le verdict: elle était terriiiiiiible, ma glace!
A nouveau, meilleurs vœux à tous ! Je vous embrasse pour l’occasion, profitez-en.
Inscription à :
Articles (Atom)