La nuit a été plutôt bonne. La notice du somnifère disait
vrai : efficace. Je pars au travail. Je reçois un appel du CHU : je
suis attendu, en urgence, le lendemain à 7h30, pour une batterie de tests.
Prépare tes veines mec, ça va saigner. J’appelle mon employeur : je
n’aurai pas de jour de carence ( souvenez-vous, ma baguette, tout ça tout ça…)
si je demande une autorisation d’absence en joignant la convocation aux examens
médicaux. Très drôle : j’ai été convoqué par téléphone... Mon iPhone
n’enregistre pas encore les appels pour les transformer en .doc dans la foulée. C’est nul. Pas grave, je
mangerai tout de même une pomme ce midi.
Je cogite tout l’après-midi. Flippé, je lance un SMS à mon
endocrino, dont j’ai le portable, pour le voir le lendemain à la suite des
exams. Trop de questions à lui poser, trop de craintes pour la suite… Il me
répond aussitôt par SMS, de ne pas m’inquiéter, qu’il m’appellera ce soir. Ce
sera chose faite à 21h45. Il me parle, m’explique, me rassure… La nuit sera
moins noire…
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