"A l'ombre"... ou plutôt à l'ouest aujourd'hui... Je me suis traîné toute
la journée. J'ai pu faire mon travail comme prévu, mais au prix d'un véritable
épuisement.
La fatigue et les maux de ventre auront raison de ma bonne volonté. Je me
décide à aller voir ma généraliste pour qu'elle soulage mes maux, qu'elle
m'arrête. À 17h15, j'arrive dans le cabinet et là, lunettes de soleil sur les
yeux, telle une vedette américaine, je fends la foule et prend place sur la
dernière chaise que l'on m'avait évidemment réservée. Huit personnes
manifestent leur enthousiasme à mon égard, en toussant, en mouchant, en
crachant... mais en ne vomissant pas (pas drôle). Le temps était trop clément aujourd'hui :
mon écharpe est restée à la maison. Je ne pourrai donc pas dissimuler mon
visage, telle Brenda avant d'entamer la danse des 7 voiles, pour échapper aux
miasmes volants de mes congénères ( en un seul mot).
Après 2h30 d'attente, la doc me prescrit tout un tas de réjouissances pour mon estomac, mon foie, mes intestins. Mon cœur bat trop lentement "pour un non-sportif" (qu’elle ose dire) : 46 pulsations/min : ça fait pas d’trop… Elle pense que ça vient des maux de ventre. Elle me met en arrêt de travail. Le repos est essentiel à la réussite de la thérapie, qu'on me dit.
Les effets secondaires de la piqûre sont, ma foi (sans jeu de mots), longs et coriaces. Ils peuvent durer les six premiers mois. Ouch... Bon, il faut vivre le jour présent en n'espérant pas que "le diable harcèle mes lendemains"...
Après 2h30 d'attente, la doc me prescrit tout un tas de réjouissances pour mon estomac, mon foie, mes intestins. Mon cœur bat trop lentement "pour un non-sportif" (qu’elle ose dire) : 46 pulsations/min : ça fait pas d’trop… Elle pense que ça vient des maux de ventre. Elle me met en arrêt de travail. Le repos est essentiel à la réussite de la thérapie, qu'on me dit.
Les effets secondaires de la piqûre sont, ma foi (sans jeu de mots), longs et coriaces. Ils peuvent durer les six premiers mois. Ouch... Bon, il faut vivre le jour présent en n'espérant pas que "le diable harcèle mes lendemains"...
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