Pour autant, nous décidons d'annuler nos prochaines vacances. C'est dur... Je me rends compte, vraiment aujourd'hui, que cette foutue maladie va bouleverser... la vie, au moins pour quelque temps. A défaut de l'accepter, il faut l'intégrer. Les enfants n'en pâtiront pas: c'est avec Papy et Mamy, qui bouleversent si gentiment leur plan, qu'ils iront en vacances. Ça me réconforte. Le plus petit ira chez sa marraine adorée une autre fois, ce n’est que partie remise…
Comme vous le savez, l'oisiveté ne m'est pas
sympathique. Alors, à mon rythme, celui de l'escargot asthénique, je m'occupe.
Musique, cuisine: brioche puis soupe (à manger dans le désordre), coup de
téléphone avec la môman et la sister, une petite sortie oxygénante et un tour
sur le lieu de travail pour voir si tout ce que j'ai laissé avait bien été fait
(ouai ouai, du mal à décrocher...pas le téléphone hein.)
Après le repas, on organise des soirées et des
petits moments avec les amis. C'est bon, ça aussi. Ça fait partie de ma
thérapie.
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