mardi 30 octobre 2012

Mardi 30/10/2012

Vous avez été nombreux à réagir à mon post d’hier. Ne vous y méprenez pas ! Cette pensée s’est imposée à moi, sans que je le veuille. C’est ainsi. J’essaie de garder le moral, c’est pas toujours simple mais j’y crois (encoooooooore, on est vivannnnnt tant qu’on est fort… comme dirait LF… et non MF : par pitié, ne confondez pas).

Aujourd’hui, pas trop d’appétit : dommage on s’était prévu un petit resto. D’ordinaire, j’aurais salivé devant une délicieuse Capra e Miele. Là, non, même pas. J’ai préféré une salade. C’est mieux pour ma ligne.

Je suis allé dire bonjour à ma généraliste en fin de journée. Je l’aime bien : elle très à l’écoute… et elle a un humour exceptionnel (pas aussi exceptionnel que le mien mais bon…). Elle m’a demandé de passer pour me tâter…le pouls. A mon arrivée dans la salle d’attente, il n’y a qu’une seule personne. Normal, j’ai pris RDV. Dans le cabinet, un nourrisson hurle sa race. « Qu’elle lui fasse mal à lui plutôt qu’à moi » me suis-je dit, un sourire sadique au coin des lèvres. Je plaisante… J’apprendrai par la suite que ces cris de douleurs étaient dus…à une simple pesée… et que le nourrisson était une nourrissone (mon dictionnaire personnel définira ainsi le terme de nourrissone : Petite gamine même pas sèche derrière les oreilles mais qui montre déjà toute sa capacité à devenir, d'ici quelques années, une nana hystérique à l'annonce du verdict de l'intraîtable Mme Terraillon.)

Mon tour arrive. On parle de l’évolution de mes maux de ventre, de la réapparition des céphalées… Quelques explications : il n’y a plus le pic d’antihormones du début, donc une meilleure accoutumance pour le système digestif. Quant aux maux de tête, il peut s’agir de la fatigue ; fatigue provoquée sans doute par un rythme cardiaque toujours bas : 48 allongé ; 50 assis. Trop juste pour elle. Elle appellera demain le service d’endocrinologie du CHU qui m’avait fait passer la matinée de test le vendredi 12 octobre. Elle voudrait connaître de combien était ma fréquence cardiaque avant la première injection. SI j’étais déjà autour de 50, ça ne sert à rien de s’affoler : j’ai un cœur qui « déchire trop », un cœur de semi marathonien (Polack, si tu me lis !) Par contre, si elle était beaucoup plus haute que maintenant (ce qui est probable), c’est qu’il s’agit sans doute des effets de la première piqure et donc qu’il faudra voir le cardiologue rapido, en tout cas, avant la deuxième. C’est qu’elle arrive vite. Déjà…

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